Premier atelier d'écriture à Boulouparis
Samedi 19 septembre 2020
Rencontrer de nouveaux écrivants suscite toujours une émotion. Émotion des premiers regards, émotion des premiers mots, des premiers textes qui s’écrivent, se lisent, s’écoutent.
Il y a toujours quelqu’un qui ne « respecte pas la consigne », mais la contourne merveilleusement, un·e autre qui dit : « Je vous préviens, c’est nul » et nous livre un trésor. Des voix qui chuchotent, des oreilles qui se tendent : « Moins vite, plus fort ». Des phrases qui interpellent ou ricochent sur celles du voisin ou de la voisine. Les créativités s’aiguisent, des complicités naissent.
Samedi 19 septembre, sous le dôme, à la Ouaménie, 8 personnes qui n’avaient jamais participé à un atelier d’écriture ont osé franchir le pas. Bravo à elles ! C’était un enchantement de les rencontrer, de partager leurs textes et leurs rires.
Rencontrer de nouveaux écrivants suscite toujours une émotion. Émotion des premiers regards, émotion des premiers mots, des premiers textes qui s’écrivent, se lisent, s’écoutent.
Il y a toujours quelqu’un qui ne « respecte pas la consigne », mais la contourne merveilleusement, un·e autre qui dit : « Je vous préviens, c’est nul » et nous livre un trésor. Des voix qui chuchotent, des oreilles qui se tendent : « Moins vite, plus fort ». Des phrases qui interpellent ou ricochent sur celles du voisin ou de la voisine. Les créativités s’aiguisent, des complicités naissent.
Samedi 19 septembre, sous le dôme, à la Ouaménie, 8 personnes qui n’avaient jamais participé à un atelier d’écriture ont osé franchir le pas. Bravo à elles ! C’était un enchantement de les rencontrer, de partager leurs textes et leurs rires.
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